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Entre Les Deux Oreilles

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Entre Les Deux Oreilles

La maladie mentale est beaucoup plus qu'un problème "Entre Les Deux Oreilles"
(8)

Cette initiative multi-plateforme a pour principal objectif de combattre les tabous entourant la maladie mentale et de sensibiliser la population aux différents enjeux en santé mentale. Peu importe le milieu et l'environnement, il existe encore aujourd'hui trop de préjugés entourant la maladie mentale et trop de gens vivent dans l'isolement par crainte d'être jugés. En parler sans peur et avec can

deur demeure la solution idéale et c'est le mandat primaire de ce projet ambitieux. Bien que le bassin physiologique de la maladie mentale se situe dans le cerveau, ses répercussions et ses effets vont bien au delà d'Entre les deux oreilles!

11/18/2023

Cette semaine a l’école de ma fille, une jeune fille s’est enlevée la vie.

13 ans.

Une vie trop vite interrompue. Une famille endeuillée. Une école affligée. Une communauté bouleversée.

Comme une pierre qu’on lance dans la mare, les cercles concentriques de la douleur qui se déploient à l’infini.

A chaque fois que j’apprends la triste nouvelle du départ d’une personne par su***de, une petite part de moi s’éteint.

Depuis 10 ans, je raconte mon histoire avec la maladie mentale dans les écoles, les entreprises, les centres communautaires dans l’espoir d’inspirer qu’une seule personne a aller chercher de l’aide, et qui sait, peut être, sauver des vies.

Je sais. Je sais. C’est se mettre une pression indue. Et sauver le monde, bien c’est impossible.

Mais c’est plus fort que moi. C’est la mission que je me suis donnée.

J’aimerais tant avoir ce pouvoir de retourner dans le temps et d’aller à la rencontre de cette jeune fille.

Pas pour lui dire que tout va bien aller ou de tenter de minimiser la douleur ressentie.

Juste lui tendre la main, lui offrir mon épaule et l’écouter.

Lui dire qu’à 19 ans, je voulais tellement arrêter de souffrir et qu’a 29 ans j’ai tenté d’en finir.

Mais une main tendue m’a sauvée. Une personne m’a offerte son épaule et son écoute et j’ai décidé de donner une nouvelle chance à la vie.

Jade, j’aurais tant aimé que tu entendes mon histoire. Peut être y aurais-tu trouvé du réconfort. Peut-être y aurais-tu vu dans mon message qu’il y a de l’espoir derrière la façade de la détresse et du désespoir.

Peut-être.

Mais sache que ton départ me rend encore plus résolue à poursuivre ma mission.

Elle est peut-être impossible cette mission, mais ça ne m’empêchera pas d’essayer.

Au nom de ceux qui nous ont quitté et ceux qui restent.

Repose en paix belle Jade.

1-866-APPELLE

Martin Binette
Fondateur
Entre Les Deux Oreilles

11/17/2023

À 20 ans, on a le monde à nos pieds et la vie devant soi.

À 30 ans, le rythme de la vie va en s’accélérant mais ça demeure exhilarant.

À 40 ans, deux enfants, une maison, une carrière, la cadence prend de la vitesse mais on garde les deux mains sur le volant.

À l’approche de la cinquantaine, on fait le point, on lâche prise, on ferme le premier chapitre de notre vie et on embrasse le second qui s’amorce.

Mais fermer le livre avant le second chapitre, c’est juste… injuste. C’est une calamité de la vie. Un glitch dans la matrice.

Karl Tremblay avait 47 ans. J’en ai 48.

À 48 ans, on se croit toujours invincible.

À 48 ans, on prend trop souvent notre santé pour acquis, un dû.

Mais son départ nous rappelle brutalement que nous sommes que de passage sur cette petite boule ronde et que Superman n’existe pas.

Je parle souvent de santé mentale dans ces pages mais faut-il le rappeler le cancer demeure la première cause de décès chez les hommes et le cancer de la prostate reste le plus fréquent.

20 % des nouveaux cas de cancer chez l’homme en 2023 sont de la prostate.

Les boys, il est temps de renverser cette tendance. Mettons notre égo de côté et priorisons notre santé tant physique que mentale.

Pour faire de ce second chapitre, le plus doux, le plus florissant et le plus captivant qui soit.

47 ans.

Bien trop jeune pour partir.

Repose en paix l’étoile filante 💫 !

Karl Tremblay 1976-2023

- Martin Binette
Fondateur
Entre les deux oreilles

11/11/2023

Un extrait du Journal de Montréal qui m'a touché et que j'aimerais partager ici :

" Pour ce jour du Souvenir 2023, j’aimerais que nous prenions le temps de nous arrêter et réfléchir à ceux qui ont tant donné pour notre nation.

Prendre le temps de nous souvenir des sacrifices, du courage et des dévouements.

Prendre le temps de connaître les personnes derrière l’uniforme avec leurs succès, mais aussi leurs détresses.

Prendre le temps, de leur démontrer notre appréciation à notre bien-être collectif, car il y a un prix à ce que nous avons aujourd’hui ici au Canada.

Prendre le temps de transmettre aux nouvelles générations les faits historiques de ces gens qui ont tant donné pour notre pays. "

Nous oublions souvent l'impact sur la santé mentale de nos vétérans et toute la détresse qui peut en découler

Une pensée bien spéciale pour eux aujourd'hui. Merci pour votre dévouement !

Je me souviens... ❤️

Lydia Migneault
Collaboratrice
Entre les deux oreilles

11/10/2023

C'est avec des petits fatigués, mais ô combien remplis de fierté que je vous partage cette tranche de vie que j'ai vécue hier soir.

Ceux qui me connaissent savent que j'ai toujours aspiré à faire ma première conférence en santé mentale pour, un jour, devenir conférencière et semer l'espoir autour de moi par mon histoire.

C'est un but de vie que je chéris depuis des années.

Je n'ai jamais eu le courage de briser la glace et faire le premier pas parce que cette étape-là me demandait de sortir de ma zone de confort comme je l'ai jamais fait auparavant.

J'ai fait ce pas hier soir. J'ai brisé la glace ! 🙌

J'ai eu l'opportunité d'être invitée par un super organisme à leur assemblée générale annuelle pour venir parler de mon chemin vers le rétablissement, de mes embûches, mes arrêts de travail et transmettre l'espoir en parlant de ce parcours rempli de résilience qui est le mien.

Je voulais prendre un moment pour vous partager ma soirée d'hier parce que ce fut une belle expérience enrichissante et un nouveau tournant dans ma vie.

Ce sentiment d'après... À quel point je suis fière. J'avais l'impression de surfer dans les airs.

Quand je suis arrivée c'était que des personnes beaucoup plus âgées...

C'était majoritairement des hommes qui composaient la salle et qui étaient âgés entre 45 et 70 ans.

Nous étions supposés être beaucoup plus de gens de tous les âges, mais plusieurs ont annulé à la dernière minute.

J'étais en mode panique et je me demandais quessé je foutais devant cette auditoire-là. Que je n'allais avoir aucun rapport.

Je me sentais ridicule et intimidée.

J'ai décidé de focuser et de donner ma conférence quand même comme je le sentais.

Ben... pouvez-vous croire qu'à la fin c'était des hommes qui me posaient des questions.

À la pause, c'est un autre homme qui est venu me parler et me raconter son histoire en toute vulnérabilité avec les yeux plein d'eau en me disant que ç'a avait brassé plein d'affaires et me remerciait en me demandant de continuer de faire ce que je faisais.

La coordonnatrice m'a écrit, hier soir, pour me dire merci parce que mon message a passé et que quand j'ai quitté, tout le monde s'est mis à parler de ses idées suicidaires et de leur passé avec la santé mentale. Ils se sont mis à en parler sans crainte et sans gêne.

J'en reviens pas d'avoir réussi à faire raisonner mon message à cet auditoire-là.

Un merci spécial à cet organisme !

Ça me donne juste tellement envie de continuer là-dedans. Ça me prouve que j'ai ma place.

Ben ben fière de moi ! 🥹

Je suis remplie de gratitude de pouvoir vivre ça.

C'est comme-ci, après toutes ces années, je pouvais toucher ce rêve et le rendre concret.

Ça donne tellement un sens à ma vie ! 🩷

Ça ne fait que commencer !

Merci la vie !

Ps : Joël, j'espère que là-haut, de ton nuage, tu as pu me regarder. J'ai parlé de toi et je t'ai fait briller. J'ai pensé à toi et comme promis je vais continuer. Tu ne tomberas jamais dans l'oubli. Merci de me donner cette force de là-haut. Je t'aime !

- Lydia
Collaboratrice en chef
Entre les deux oreilles

11/08/2023

Ce week-end, le "mot qui commence par un C" s'est invité chez nous.

Je l'appelle ainsi parce que j'ai encore de la difficulté à y croire, à le prononcer.

Mais vendredi dernier, le diagnostic est tombé : cancer du poumon.

J'ai toujours vu mon père comme un super-héros, un roc, invincible.

Un homme fier et droit.

Un homme de peu de mots. Si mal à l'aise de nommer son amour à ses proches que la meilleure façon qu’il a trouvé de l'exprimer fut de se faire tatouer le nom de ses enfants et de ses petits-enfants sur son avant-bras.

Je le dit souvent en conférence, mais le plus fort c'est mon père. Celui que je tente d'émuler mais aussi d'impressionner depuis ma tendre enfance.

C'est Guy Lafleur, Gary Carter et René Lévesque réunis sous une seule enveloppe charnelle. Mon idole.

Celui qui m'a inculqué la valeur du travail bien fait, le respect d'autrui et la persévérance.

Le voir si vulnérable, m'a coupé le souffle et scié les jambes.

De le voir les yeux pleins d'eau alors que je l'ai vu rarement pleurer, fut comme un coup de poing en pleine poitrine.

Du même coup, j'ai vite constaté que j'ai pris sa présence dans ma vie comme acquise.

J'avais toujours l'habitude de lui lâcher un coup de fil une fois par semaine. J'adorais lui faire plaisir et l'inviter voir le Canadien, l'Impact ou aller au resto de temps en temps.

On jasait peu mais au moins nous étions ensemble. Dans une espèce de synergie commune, une connivence silencieuse.

Mais dans les dernières années, les appels se sont fait plus sporadiques. Les invitations plus rares.

Un jour on danse avec insouciance sur un plancher de danse, on cligne des yeux et 25 ans se sont déroulés sous nos yeux et on se retrouve près de la cinquantaine avec deux enfants, une femme, une maison, un chat.

Au fil des années qui passent, la carrière prend aussi une place prépondérante. On devient obnubilé par les exigences de la vie et on oublie vite l'essentiel. Je plaide coupable.

Prenez soin de vous et de vos proches les amis. Ne les prenez jamais pour acquis.

La carrière, le travail c'est important, c'est gratifiant, mais encore faut-il ne pas perdre de vue l'essentiel.

L'essentiel, c'est ceux qui nous entourent, ceux qu'on aiment, ceux qui nous propulsent vers l'avant.

L'essentiel c'est de profiter de chaque instant, car la vie est "invaincue".

Ça fait 5 ans que je lui promets un voyage de pêche. C'était l'une de nos activités préférés quand j'étais ti-cul.

Heureusement, le cancer est localisé, non métastasé. Nous ne sommes pas sorti du bois. Il devra subir une opération importante qui, je le souhaite ardemment, le gardera près de nous pour plusieurs années encore.

Mais je peux vous garantir que si tout se passe bien, vous nous retrouverez sur un lac quelque part au Québec cet été, la ligne à la main.

En silence mais ensemble.

Love U Pop

Martin Binette
Fondateur
Entre Les Deux Oreilles

11/01/2023

On ne dirait peut-être pas, mais tu avances.

Tu n’as peut-être pas la situation que tu voudrais avoir, mais tu avances.

Tu n’as peut-être pas accompli tes objectifs pour le moment, mais tu avances.

Tu n’as peut-être pas ta situation de rêve, mais tu avances.

Tant que tu agis, sache que tu avances.

C’est ça le plus important… Que tu continues d’agir pour avancer.

Certaines parties de ton chemin seront plus faciles et certains jours te donneront l’impression que tu ne vas jamais y arriver, mais c’est faux.

Si tu regardes dans le miroir, tu verras quelqu’un qui a traversé des tempêtes, qui a essuyé des échecs, mais qui est toujours là, debout !

Et ça c’est la preuve que tu es bien plus fort que tu ne le penses.

Je sais, la route est longue parfois…

Tu vas te sentir seul par moment, mais crois-moi la destination en vaut la peine.

Ne t’inquiète pas d’avancer lentement. Inquiète-toi seulement d’arrêter.

Continue d’avancer !

Et surtout dis à ton cœur de transmettre le message à ta tête d’arrêter d’être si dur avec toi-même.

Tu avances tous les jours en faisant ton possible et c’est le plus important. 🩷

Douce soirée à toi ! Xx

- Lydia

10/30/2023

OYÉ OYÉ GENS DE LANAUDIÈRE ET DES ENVIRONS ! 📣

J’ai eu la chance d’être invitée par l’Association des travailleurs et travailleuses accidentés du Matawin à venir parler de mon parcours en santé mentale lors de leur assemblée générale annuelle.

C’est avec un immense plaisir que je vous invite à venir assister à ma conférence gratuitement le 8 novembre prochain à compter de 18h30.

Ce sera une belle soirée pour échanger sur le sujet de la santé mentale et plus spécifiquement sur les impacts que ma santé mentale a eu sur mon parcours professionnel et l’intégration lors d’un retour au travail.

Veuillez confirmer votre présence d’ici le 3 novembre en communiquant directement avec moi. Un buffet froid vous sera servi !

Je parlerai de résilience, de courage et d’acceptation !

En espérant pouvoir rencontrer quelques-uns d'entre vous en personne ! 💙

Bonne semaine à tous !

- Lydia xx

10/28/2023

Pour la énième fois, nous préférions ne pas faire ce genre de publication.

Mais pour la énième fois, nous nous sentons dans l'obligation de faire ce simple rappel.

D'entrée de jeu, il est important ici de rappeler : le drame survenu à Lewiston, Maine est d’une horreur absolue.

Rien ne justifie une atrocité du genre.

Mais un mythe demeure persistant autour de la maladie mentale et qui est souvent remis à l'avant-plan lors d'événements du genre : les personnes atteintes de maladie mentale sont tous des tueurs potentiels, capable des pires atrocités et d'une violence inimaginable.

Or, selon l’ACSM : « En tant que groupe, les personnes qui ont des problèmes de santé mentale ne sont pas plus violentes que les autres groupes de notre société. La majorité des crimes ne sont pas commis par des personnes souffrant de troubles psychiatriques. Par ailleurs, de nombreuses études ont prouvé qu’il y a très peu de liens entre la plupart de ces maladies et la violence. Le vrai problème, c’est que les personnes souffrant d’une maladie mentale sont de deux fois et demie à quatre fois plus susceptibles d’être victimes de violence que les autres groupes de notre société. »

De surcroît : « La plupart des crimes violents commis dans notre société ne sont pas attribuables à la maladie mentale. La supposition qu’un potentiel de violence se rattache presque assurément à toutes les maladies mentales s’est avérée incorrecte dans de nombreuses études. »

Ce jeu dangereux d’amalgamer les crimes violents à la maladie mentale contribue malheureusement à ostraciser ceux qui en souffrent.

Certes, des crimes sont commis par des personnes atteintes de maladies mentales graves. Mais, faut-il le rappeler : des millions de personnes souffrent d’une maladie mentale sur cette planète et la vaste majorité ne commettront jamais d’actes violents.

Il faut donc être prudent et vigilant sur la façon de présenter l’information car elle ne fait qu’encourager les fausses perceptions et l’intolérance envers les personnes qui souffrent d’une maladie mentale.

Dans une perspective ou nous désirons ardemment comme société éliminer les tabous et les préjugés envers la maladie mentale afin de permettre aux personnes qui en souffrent de s’ouvrir, d’en parler et de chercher de l’aide, la perpétuation de ce mythe contribue malheureusement à maintenir cette stigmatisation.

Nous avons cru bon de faire cette publication suivant ces articles dans les médias.

- Martin et Lydia

10/24/2023

Saviez-vous qu'aujourd'hui est la journée de l'écoute au Québec ?

L'acte d'écouter est omniprésent et joue un rôle fondamental dans nos vies.

L'écoute active est essentielle pour préserver notre santé mentale.

En cette journée de l'écoute, j'avais envie de vous partager une bonne nouvelle.

Il y a quelque temps, j'ai décidé de soumettre ma candidature afin de devenir bénévole sur une ligne d'écoute.

Eh bien, après plusieurs heures de formation théorique sur l'écoute active ainsi que plusieurs heures de formation pratique, j'ai l'immense fiierté et le bonheur de vous informer que je suis maintenant bénévole pour l'organisme ÉCOUTE ENTRAIDE.

Je met en pratique l'écoute active sur notre ligne téléphonique.

Dernièrement, j'ai débuté la coanimation de groupe d'entraide.

Si vous ne connaissez pas cet organisme, je vous invite à le découvrir. Ils offrent tellement de soutien et de beaux services pour la communauté.

Notre ligne d'écoute est accessible 365 jours de 8h à 22h partout au Québec.

Peu importe l'âge, le sexe ou la situation, tout le monde peut traverser des moments de détresse et de confusion.

Les lignes d'écoute sont là pour vous, gratuitement et sans jugement, elles peuvent vous aider à prendre du recul et vous libérer d'un poids en verbalisant votre difficulté.

L'écoute fait partie intégrante de la solution !

Je suis vraiment fière de redonner à ma communauté.

Ça donne un sens à mes ép*sodes plus difficiles et c'est tellement nourrissant et gratifiant d'avoir la sensation de faire une différence dans la vie de cette personne au bout du fil. ❤️

En cette journée de l'écoute, j'aimerais vous rappeler que ces services sont là pour vous aider dans votre rétablissement, n'ayez jamais honte.

Prendre la ligne et composer à un centre d'appel est un signe de force et de courage, ne l'oubliez pas !

Ligne d'écoute sans frais : 1-855-365-4463

Bonne journée de l'écoute à tous !👂

- Lydia xx

10/24/2023

Accroche-toi... Ne perds pas le contrôle maintenant.

Accroche toi... Ne perds pas ton âme maintenant.

Je sais que cette vie devient parfois difficile.

Je sais que la dépression traverse ton esprit.

Je sais que parfois tu as juste envie de pleurer.

Je sais que parfois tu veux juste mourir.

Je sais que parfois tu te demandes simplement pourquoi ?

Tu te sens seul pour mener ce combat.

Mais je te promets que tu vas t'en sortir.

Parce que je l'ai vu de mes propres yeux.

Et je l'ai ressenti dans ma propre vie.

Alors attends...

Ne perds pas le contrôle maintenant.

Accroche toi...

Cette douleur va ralentir.

Je connais les sentiments que tu ressens au plus profond de toi.

Et je sais que parfois tout ce que tu veux c'est la preuve que la vie va s'améliorer et que la douleur s'estompera.

Je sais que tu n'es pas en forme et que tu veux voir des jours meilleurs.

Je sais que tu es dans un chapitre que tu aimerais pouvoir effacer.

Je sais que la vie devient difficile et que tu as perdu la foi.

Et je sais que tu as l'impression que personne ne s'en soucie.

Mais je jure que tout ce que tu traverses va juste te rendre plus fort.

Je te jure que tu trouveras un sens à tout ça.

Accroche toi...

Cette douleur va ralentir.

J'avais besoin de lire ces mots ce soir et j'avais envie de les partager avec vous. ❤️

C'est difficile ces derniers jours, j'essaie de faire preuve de bienveillance.

J'ai terminé la journée avec un bon bain chaud, de la mousse et de la musique.

J'espère que ces mots pourront t'apaiser si tu en avais besoin toi aussi.

N'oublies pas que chaque petit pas compte.

Prends soin de toi et douce soirée !

- Lydia xx

10/22/2023

" Le bonheur c'est tout petit.

Si petit que, parfois, on ne le voit pas.

Alors, on le cherche partout.

Pourtant, il est là !

Il est là dans l'arbre qui chante dans le vent.

Dans le regard d'un enfant.

Dans la main que l'on tend.

Le bonheur, c'est tout petit.

Si petit que, parfois, on ne le voit pas.

Il ne se cache pas, c'est là son secret.

Il est là, tout près de nous, et parfois en nous.

Le bonheur se trouve dans les petites choses quotidiennes de la vie.

Nous avons parfois tendance à le chercher bien trop loin. "

En ce dimanche pluvieux, mon petit bonheur c'est aussi simple que ça :

● Une maison propre;

● Une chandelle qui sent la vanille et la citrouille partout dans la maison;

● Un café à la citrouille;

● Devant une série Netflix;

Prendre le temps de prendre le temps !

Au final, c'est la somme de petits bonheurs, qui permet de vivre pleinement. 🧡

Doux dimanche à vous tous ! J'espère que vous trouverez vos petits bonheurs aujourd'hui.

- Lydia xx

10/16/2023

M. Latraverse.

Je n'ai pas eu la chance de vous rencontrer.

Mais dès le 1er jour où j'ai mis les pieds chez mon Mon Relief j'ai immédiatement senti votre présence.

L'écho de votre voix, si menue soit-elle, résonne comme le tonnerre sur les murs de l'endroit.

Outre la salle principale qui porte votre nom, le lieu tout entier est imprégné de votre aura.

Tous vous connaît comme le père du "show business" québécois mais nous tous chez Relief et pour plusieurs qui ont passé la porte, vous connaissons comme le père-fondateur de l'organisme et celui qui a tracé le chemin.

Vous avez changé le Québec en entier dans le domaine du divertissement, mais pour nous tous qui vivons avec la maladie mentale vous avez été celui qui a brisé le mur du silence.

En étant la toute première personnalité publique à parler ouvertement de votre maladie mentale, vous avez ébranlé les portes du temple et briser les conventions.

Avec humilité et authenticité, vous avez persuadé des milliers que vivre avec la maladie mentale n'était pas une sentence ni une pénitence.

Par votre influence et votre force de caractère vous avez convaincu des élus et des décideurs que la santé mentale n'était pas une lubie ou une vue de l'esprit.

Combien de fois ai-je entendu l'anecdote, si bien raconté d'ailleurs par Jean-Rémy Provost, DG de Relief, où vous vous étiez présenté au bureau du premier ministre, et ce sans rendez-vous, pour réclamer des fonds en santé mentale ... et que l'on vous avait reçu sur le-champ !

Vous étiez sorti de cette rencontre impromptu avec un chèque en main .. et le premier ministre avec une autographe !

Je le dit sans ambages, sans vous le Québec serait encore dans la grande noirceur en ce qui à trait à la sensibilisation aux maladies mentales.

Si des personnalités comme Florence K, Pierre Craig, Jonathan Drouin, Stefie Shock, Jonathan Roberge parlent si ouvertement de leur enjeu avec la maladie mentale, c'est grâce à vous.

Et vous avez aussi pavé la voie pour des milliers à accepter leur maladie, à en parler et à aller chercher de l'aide.

Je suis l'un d'eux.

Sans vous, je ne serais pas la personne que je suis aujourd'hui.

Celle qui, à tous les jours, parle sans retenue de ses enjeux avec sa maladie et celui qui s'efforce de briser les tabous et à faire tomber les préjugés autour des maladies mentales.

M. Latraverse, je n'ai pas eu cette chance de vous rencontrer, mais à tous les jours j'ai le sentiment profond de vous côtoyer.

Et pour la suite, je m'efforcerai de suivre vos pas, bien qu'il soit impossible de marcher dans les traces d'un géant.

Merci pour tout M. Latraverse.

Reposez-en-paix

Martin Binette
Fondateur
Entre Les Deux Oreilles

10/14/2023

Très touchante vidéo sur la sensibilisation au su***de réalisée par l’équipe de foot anglais Norwich City Football Club sur la prévention du su***de.

Je vous invite à la regarder jusqu’au bout.

Il faut être vigilant aux signes avant-coureurs certes, mais il faut aussi savoir qu’il ne faut pas toujours se fier aux apparences.

La détresse se cache derrière des atours parfois trompeurs.

« Comment vas-tu .. vraiment? ». Une question qui mérite d’être posée plus souvent.

Besoin d’aide ? 1-866-Appelle
Association québécoise de prévention du su***de (AQPS)

10/13/2023

J’ai vécu dans la peur toute ma vie.

Peur de mourir
Peur de l’avion
Peur d’être jugé
Peur de parler en public
Peur de l’éloignement
Peur d’avoir peur

Cette peur m’a volé une bonne partie de ma jeunesse et de ma vie d’adulte.

J’ai manqué tellement de match de baseball parce que j’avais peur de traverser le pont Jacques-Cartier en voiture.

J’ai raté l’occasion de participer à un tournoi de hockey en France parce que j’avais peur de prendre l’avion.

J’ai longtemps refusé de parler devant public de peur de faire un fou de moi et d’être jugé.

J’ai manqué de belles opportunités de carrière parce que j’avais peur d’échouer.

Alors quand les gens de Desjardins Assurances m’ont approché ce printemps pour m’offrir l’opportunité de participer à leur grand Forum collectif en tant que conférencier principal à Vancouver et Toronto.

Ma première réaction a été de dire NON !!!

Sur une échelle de 1 à 10 en terme d’anxiété, cette opportunité était un 14 !

Mais ce matin, je me suis levé avec un sentiment de grande fierté, car j’ai finalement accepté et donné les 2 conférences en question.

Mais si je pouvais avoir une Delorean et retourner dans le temps, j’irais glisser un mot à l’oreille du ti-bonhomme sur la photo

Ce ti-cul insecure qui avait peur de son ombre, qui ne souriait pas sur les photos à cause de ses dents croches.

« Hey Martin, tout va bien aller mon homme ! Tu vas réussir des trucs inimaginables dont tu vas être si fier que tu vas flotter sur un nuage de fierté ! »

Bien sûr j’étais mort de trouille de m’adresser en anglais à une centaine de personnes dans des villes situés à des centaines de kilomètres de la maison.

Bien sûr que j’avais peur d’échouer, peur d’etre jugé, mais le sentiment de fierté ressenti à la descente de l’avion qui me ramenait à la maison écrasait a plate course toute l’anxiété d’anticipation que je vivais en prévision de l’évènement.

Affronter ses peurs est la chose la plus difficile à accomplir. Mais lorsqu’on réalise l’impensable, le sentiment de fierté est incommensurable.

La fierté est une drogue. A chaque fois qu’on la ressent, qu’on la vit, on cherche son prochain fixe.

Et vous ? Quel est la peur qui vous taraude le plus ?

Pourquoi ne pas l’inscrire sur un papier et le conserver dans votre poche. Pour un gentil rappel de l’affronter un de ces jours !

Slay the dragon.

10/07/2023

Ces derniers temps, je ne cesse de tomber sur des mots qui raisonnent en moi.

Des mots qui apaisent mon âme et me font réfléchir.

Je ne pouvais passer sous silence ce merveilleux texte de Fred Gingras.

Cet humain a une plume et un âme hors de l'ordinaire.
__________________________

C’est ok ce qui se passe en ce moment. Il y a un moment pour l’autrement puis aussi il y a un moment pour ça aussi.

C’est comme le ciel. Il y a un temps pour des fois le soleil puis il y a un temps pour aussi des fois l’orage.

Il y a un temps pour la clarté et aussi un temps pour l’ombre.

Il y a un temps pour savoir où on va et aussi un temps pour se perdre.

Il y a un temps pour avancer et aussi un temps pour reculer.

Un temps pour être en sécurité et un temps pour être en danger.

Un temps pour être en santé et un temps pour être malade.

Un temps pour le facile et un temps pour le difficile.

Un temps pour le confortable et aussi un temps pour l’inconfortable.

Et c’est ok. C’est comme ça.

P*s t’sais, je sais que c’est pas aussi simple que ça.

Que c’est dur des fois d’accepter.

Mais, p*s c’est ça l’affaire—on n’a pas besoin. Ce n’est pas quelque chose que j’ai besoin d’accepter ou pas.

L'univers n’attend pas ma permission pour continuer—la pluie va pleuvoir que je l’accepte ou pas, puis elle va repartir que je l’accepte ou pas—et mes états eux aussi.

La seule chose que je retiens quand je refuse d’accepter, la seule chose que j’empêche, c’est moi-même.

S’il y a bien une chose, mon amie, qui a profondément changé mon existence dans la dernière décennie, c’est d’enfin cesser si fort de résister à ce qui est—dehors de ce que j’appelle moi et dedans ce que j’appelle moi.

T’sais, c’est quelque chose comme le bruit du frigo, qu’on ne remarque pas sauf quand, enfin, il s’arrête.

P*s t’sais, ça m’agace, parce que j’ai pas les mots pour bien te l’expliquer.

J’aimerais ça te dire que t’as juste à te pencher et débrancher le frigo puis pouf, mais c’est pas simple comme ça.

C’est un peu plus comme essayer de t’expliquer comment j’ai fait pour desserrer mon poing.

Comment tu fais pour expliquer ça à quelqu’un? Tu peux pas.

Je peux juste te dire que j’ai arrêté.

J’ai arrêté de résister, de forcer, d’utiliser mes comme muscles intérieurs qui avaient comme les deux bras tendus face au monde.

Que, quelque part dans les dix dernières années, mes bras d’en dedans se sont baissés, p*s que j’ai laissé les grandes portes en chêne de CE QUI EST s’ouvrir entières p*s que je me suis laissé complètement balayé par le courant qui est entré.

P*s que, mon Dieu, ça fait du bien.

J’pense que j’vais avoir besoin d’un autre dix ans pour maintenant appliquer du relaxant musculaire sur mes muscles intérieurs, tellement endoloris par les années à essayer en vain de retenir les portes en chêne de ce qui est, à me croire assez fort pour empêcher le fleuve du monde entier.

Quand je dis c’est ok, pour moi en tout cas, dedans moi en tout cas, ça veut dire faire face.

- Fred Gingras
_________________________

Parfois, pour retrouver notre souffle et économiser notre énergie, il est mieux de cesser de lutter contre les vagues et décider de se laisser porter en surfant avec elle. ❤️

J'espère que ces mots trouveront un sens sur votre route.

Doux samedi pluvieux à vous tous !

- Lydia xx

10/05/2023

La vie est faite de petites fiertés ! ❤️

J'avais envie de vous en partager une que j'ai vécue cette semaine.

Ça risque de sembler anodin pour plusieurs, mais j'ai toujours eu peur de refaire du vélo.

La dernière fois que j'en ai fais c'est il y a 18 ans, vous voyez le genre ? 😂

J'avais retenté l'expérience quelques fois, mais j'avais trop peur.

Recommencer à faire du vélo était sur ma bucketlist de vie. Je me disais un jour...

Lundi, j'ai terminé ma séance avec mon psychologue.

Une séance de deux heures de discussions et de réflexions qui m'ont fait un grand bien.

J'étais vidée, j'avais la tête grosse et j'avais simplement envie d'aller sur mon divan.

J'ai reçu un message d'une amie me demandant si j'avais envie d'aller voir le coucher du soleil sur le bord de l'eau en vélo.

J'ai décidé de dire oui et de sortir de ma zone de confort.

Eh bien, j'ai RÉUSSI ! 🎉

J'ai roulé 12.7 km dans les rues de Montréal à explorer ma nouvelle ville.

Bon, au début je tenais le guidon comme-ci ma vie en dépendait, mais plus qu'on roulait et plus que je prenais une confiance.

Ç'a été un super accomplissement pour moi ! J'ai terminé la soirée tellement fière.

La réussite arrive lorsque vous dépassez votre peur et que vous cherchez des petites victoires chaque jour.

Merci mon amie de m'avoir accompagnée dans ce défi !

Je vous laisse en prime des photos de ce magnifique paysage !

Bonne soirée ELDO !

- Lydia xx

10/03/2023

Quand j’ai créé Entre Les Deux Oreilles il y a 9 ans jamais je n’aurais cru possible d’être l’invité principal d’une journée conférence à Vancouver.

Pour la première fois j’ai livré aujourd’hui mon message et partagé mon vécu avec la maladie mentale à l’extérieur du Québec en anglais.

Malgré le doute
Malgré l’insécurité
Malgré la peur
Les genoux qui tremblent
Les mains qui suintent
Et la voix qui tressautent …

J’ai donné probablement la plus gratifiante de mes conférences.

Parfois l’anxiété s’amuse à nos dépens mais il
suffit parfois de suivre sa voie et de foncer tête première dans le défi. De belles et bonnes choses en découlent la plupart du temps.

Merci a Desjardins de l’invitation et à Mon Relief pour le support.

Bien hâte de recommencer l’expérience la semaine prochaine à Toronto !

Martin

Adresse

Montreal, QC

Site Web

http://www.entrelesdeuxoreilles.ca

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Bonjour belle communauté ! L'épisode 3 de la 3e saison du balado est maintenant disponible. Cette semaine nous recevons une invitée toute particulière. Petrona Joseph est consultante en relations publiques. Chroniqueuse à la télé, elle a aussi oeuvré pour de grandes organisations comme BMW, Aston Martin, Jaguar et a vécu dans de nombreuses villes nord-américaines. Petrona vit aussi avec un trouble dépressif et un trouble panique. Elle est l'auteure du livre "Stigmatized", une biographie qui relate son parcours avec la maladie mentale. On s'entretient avec elle des raisons qui l'ont amené à s'ouvrir sur ses troubles de santé mentale, des impacts de la stigmatisation sur ceux qui vivent avec la maladie et de sa volonté d'être une voix forte et positive auprès des femmes et des gens de sa communauté. Ceci et bien d'autre sujets dans ce troisème épisode de la saison 3 du balado Entre Les Deux Oreilles. Un épisode à ne pas manquer ! Un balado propulsé par Mon Relief - Le chemin de la santé mentale. Un organisme qui vient en aide aux personnes vivants avec la dépression, l'anxiété et la bipolarité et leurs proches. Disponible sur toutes les bonnes plateformes de balado et sur notre site web !

"Se donner le droit de déconnecter, pour se connecter à soi-même, c'est primordial pour sa santé mentale." C'est en répondant à un texto pour le boulot vendredi soir dernier que je me suis rappelé ces sages paroles de mon amie Maya. Souvent, l'hyperconnexion n'est pas un mal nécessaire qui vient avec l'emploi ou un requis dans le monde du travail, c'est quelque chose que l'on s'impose à soi. Prendre le temps pour soi, de déconnecter de ce constant buzz, n'est pas une abdication de son rôle d'entrepreneurs, de gestionnaires ou d'employés. Au contraire, il s'agit d'un geste nécessaire pour (re)trouver l'équilibre vital et refaire le plein. Mais comme le dit si bien Maya, "c'est comme un muscle, il faut le faire régulièrement et ça nécessite une bonne dose de discipline". On en parle d'ailleurs dans le 13e épisode du balado en #santémentale Entre Les Deux Oreilles. Mon invitée pour cet épisode, Maya Volpato, consultante en santé organisationnelle chez CGI. Disponible sur Spotify, Apple Podcasts, Deezer, Ausha, Balado Québec et sur toutes les bonnes plateformes de baladodiffusion. En voici un extrait 👇

"L'Excellence authentique" ça vous dit quelque chose ? C'est une expression employée par Maya Volpato, pour décrire une posture en milieu de travail qui favorise les échanges sains entre individus dans les organisations. C'est une attitude d'ouverture à la vulnérabilité tout en donnant le meilleur de soi-même. C'est être excellent dans ce que l'on fait sans changer ce que l'on est. J'en parle avec Maya, spécialiste en santé mentale et mieux-être chez CGI, dans le tout dernier épisode de mon balado en santé mentale, Entre Les Deux Oreilles. Le sujet de l'épisode 13 : la santé mentale en entreprise. Un sujet chaud. Un sujet d'actualités. D'ailleurs, CGI s'est mérité le prix Distinction 2021 remis par le Groupe entreprises en santé et j'ai voulu savoir comment cette organisation s'y est prise pour faire de la santé mentale une priorité pendant cette année difficile. On discute également de leadership bienveillant, des impacts de la pandémie sur le bien-être des employés, de pénurie de main d'œuvre et plusieurs autres sujets. Tu veux pas râter ça ! Le balado est disponible sur toute les bonnes plateformes de baladodiffusion. ÉPISODE 13 - Saison 1 : La santé mentale en entreprise avec Maya Volpato de CGI https://smartlink.ausha.co/entre-les-deux-oreilles-le-balado-en-sante-mentale/episode-13-saison-1-la-sante-mentale-en-entreprise-avec-maya-volpato-de-cgi Bonne écoute ! #santémentale #santé #leadership #entreprise #bienêtreautravail #santéautravail

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À propos !

Cette initiative multi-plateforme a pour principal objectif de combattre les tabous entourant la maladie mentale et de sensibiliser la population aux différents enjeux en santé mentale.

Peu importe le milieu et l'environnement, il existe encore aujourd'hui trop de préjugés entourant la maladie mentale et trop de gens vivent dans l'isolement par crainte d'être jugés.

En parler sans peur et avec candeur demeure la solution idéale et c'est le mandat primaire de ce projet ambitieux.

Bien que le bassin physiologique de la maladie mentale se situe dans le cerveau, ses répercussions et ses effets vont bien au delà d'Entre les deux oreilles!