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LE TRAITEMENT NATUREL EST VOTRE SECURITE
12/09/2024

LE TRAITEMENT NATUREL EST VOTRE SECURITE

Mpox (anciennement variole du singe)Cowpoxvirus, virus de la même famille que le MPXV et extérieurement identique.Crédit...
12/09/2024

Mpox (anciennement variole du singe)
Cowpoxvirus, virus de la même famille que le MPXV et extérieurement identique.
Crédit : Institut Pasteur / Christophe Batéjat
Le Mpox est un virus initialement présent chez l’animal, notamment chez des rongeurs en Afrique, et qui circule désormais chez l’être humain ; on parle ainsi de zoonose émergente. La maladie causée par ce virus porte le même nom, Mpox (anciennement appelée variole de singe ou monkeypox), et se présente comme une forme atténuée de la variole humaine, avec des symptômes moins graves et une létalité plus faible (nombre de morts sur le nombre de personnes atteintes).
De petites flambées épidémiques localisées ont régulièrement eu lieu ces dernières années en Afrique centrale et de l’Ouest. Ces émergences ont été étudiées et surveillées jusqu’à l’émergence mondiale de la maladie, observée en mai 2022.
Au début des années 1980, suite à l’éradication mondiale de la variole humaine, la vaccination antivariolique a été arrêtée. Les personnes ainsi vaccinées sont partiellement protégées face au virus Mpox ; il existe en effet une immunité croisée entre le virus Mpox et le virus de la variole humaine.
En juillet 2022, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) a déclaré une première fois que l’épidémie de Mpox est une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) suite à sa propagation « extraordinaire » dans plus de 75 pays non endémiques (régions où la maladie n’existe pas en permanence).
Le 14 août 2024, devant la recrudescence du Mpox en République Démocratique du Congo et dans plusieurs pays voisins, ainsi que l’apparition d’une nouvelle souche virale possiblement plus transmissible (clade 1b), l’OMS déclare une deuxième USPPI.
87972 CAS DANS LE MONDE ENTRE LE 1ER JANVIER 2022 ET LE 19 JUIN 2023

Quelles sont les causes ?
Le virus Mpox est un virus à ADN double brin (environ 200 kilobases), de la famille des Poxviridés et du genre Orthopoxvirus. Il est apparenté au virus responsable de la variole humaine, une maladie déclarée éradiquée, grâce à la vaccination, en 1980.
Le virus Mpox a été isolé pour la première fois en 1958, au sein d’une colonie de singes à Copenhague, au Danemark. Ces singes présentaient des lésions cutanées qui évoquaient la variole humaine. D’où le nom de variole du singe, attribué à cette maladie.
Bien qu’on l’appelle encore fréquemment variole *du singe*, ce n’est pas via les singes que cette maladie se transmet à l’humain, mais à partir des rongeurs (voir ci-dessous le paragraphe « Comment se transmet la maladie »). L’OMS privilégie depuis fin 2022 la dénomination “Mpox".
On distingue deux principaux types du virus Mpox :
• le clade 1 : souche “historique” du virus, présent dans le Bassin du Congo en Afrique Centrale. Le clade 1b provient du clade 1.
• le clade 2 présent en Afrique de l’Ouest. Le virus qui circule actuellement en Europe, le clade 2b, provient du clade 2 impliqué dans l’épidémie du Nigéria.
Comment se transmet la maladie ?
Le Mpox ‎‎est une zoonose, c’est-à-dire une maladie transmise de l’animal à l’humain.
Le Mpox se transmet à l’humain à partir des rongeurs (par exemple, en Afrique, les écureuils de forêt ou rat de Gambie). Toutefois, le réservoir animal n’a pas encore été formellement identifié. D’après une étude publiée en 2021 par l’Institut Pasteur, concernant la variole du singe en République centrafricaine, l’histoire génomique suggère de multiples introductions depuis des réservoirs animaux forestiers.
La transmission du virus Mpox chez l’humain se fait :
• principalement par contact avec les lésions cutanées contenant des particules virales ou les muqueuses de personnes infectées
• soit par contact direct avec des animaux infectés,
• soit de façon indirecte via des matériaux contaminés (comme la literie ou les surfaces).
• Elle pourrait peut-être se faire aussi via les gouttelettes respiratoires d’une personne infectée.
Quels sont les symptômes ?
La présentation clinique du Mpox est une forme atténuée de la variole humaine, dont l’éradication à l’échelle mondiale a été déclarée en 1980.
Toutefois, le Mpox est moins contagieux que la variole humaine et entraîne une maladie plus bénigne.
Historiquement, en Afrique, le Mpox se manifeste ainsi :
• une période d’incubation d’en moyenne 12 jours, avant la survenue des premiers symptômes ;
• généralement un syndrome fébrile (courbatures, céphalées, fatigue, etc.), durant 1 à 4 jours ; le sujet est contagieux dès l’apparition des premiers symptômes (voir fiche DGS à destination des professionnels de santé) ;
• puis une phase éruptive, durant 2 à 4 semaines, avec des éruptions cutanées sous forme de petites tâches (éruptions maculopapulaires évoluant vers pustules, vésicules et croûtes), qui atteignent l’ensemble du corps dont la paume des mains et la plante des pieds, avec un gonflement des ganglions lymphatiques.
L’épidémie qui a sévi à partir de mai 2022 en Europe, liée au clade 2b – et qui s’est étendue ensuite dans le reste du monde – montre des éruptions cutanées plus localisées, souvent sur les zones génitales ou péri-anales (Voir la fiche "Monkeypox" sur le site de Santé publique France).
Les symptômes durent de 2 à 4 semaines et la personne malade guérit en général spontanément. Des complications peuvent survenir telles que : surinfections cutanées, septicémie, encéphalites, ou atteintes cornéennes. Elles peuvent mener à des formes graves de la maladie. L’OMS rapporte sur son site un taux de létalité d’environ 3 à 6 % en 2022 concernant les épidémies en Afrique, la létalité semblant plus importante avec la souche d’Afrique centrale (clade 1) et en contexte endémique. Il faut savoir que la létalité est très dépendante de l’âge des patients (élevée chez les moins de 5 ans, notamment les enfants dénutris et/ou déshydratés), de la présence d’un déficit immunitaire (infection par le VIH) et surtout de la qualité de la prise en charge hospitalière. Ainsi, dans le contexte de l’épidémie mondiale en 2022, la létalité était beaucoup plus faible, de l’ordre de 0,2%.
Comment diagnostiquer l’infection ?
Le diagnostic du Mpox est réalisé d’abord cliniquement par des médecins spécialisés (infectiologues, dermatologues). Il est ensuite confirmé en laboratoire par PCR en temps réel sur écouvillon oropharyngé et sur écouvillon de pustule.
Le diagnostic du Mpox doit prendre en considération d’autres maladies éruptives : en particulier la varicelle, mais aussi la rougeole, les infections bactériennes cutanées, la syphilis, l’herpès, etc.
Quels sont les traitements ?
Un agent antiviral, le Tecovirimat, l’eficacite n’a pas été prouvée initialement conçu pour le traitement de la variole, a été utilisé pour le traitement du Mpox lors de l’épidémie de 2022-2023. Ce traitement n’est indiqué que dans les formes sévères de la maladie, et est administré le plus précocement possible pour une durée de 15 jours par voie orale. Son efficacité clinique nécessite d’être déterminée de façon robuste.
La Haute Autorité de santé (HAS) propose sur son site des réponses rapides à l’attention des professionnels de santé, concernant l’infection par le virus Mpox et la prise en charge en médecine de premier recours. Le traitement naturel est la meilleure sécurité pour votre santé.
Comment prévenir la maladie ?
Dans les zones endémiques (en Afrique), la principale stratégie de prévention du Mpox consiste à limiter les interfaces humains/faune sauvage, donc sensibiliser et informer les populations aux facteurs de risque de transmission zoonotique (par les animaux) et ainsi diminuer les risques de transmission de l’animal vers l’humain. Au-delà, il faut agir sur la réduction de facteurs participant eux aussi à la survenue d’épidémie tels que la pauvreté, à travers la dépendance à la viande de brousse comme source protéique et la densité et la promiscuité dans les foyers, ou les conflits militaires induisant des déplacements de populations.
Plus généralement, pour limiter la transmission interhumaine, la stratégie de prévention repose sur l’information et la sensibilisation :
• sensibiliser les populations aux facteurs de risque de transmission : éviter contacts cutanés avec des personnes malades ou du matériel contaminé (lire plus haut),
• informer les populations à risque et les professionnels de santé.
Le développement de tests rapides de diagnostic permettra d’améliorer le diagnostic et prévenir la transmission interhumaine.
Plusieurs vaccins sont disponibles contre le Mpox.
Les vaccins antivarioliques, employés dans le cadre du programme d’éradication de la variole dans les années 1970, offrent une protection croisée contre le Mpox. D’autres vaccins ont également été mis au point plus récemment et présentent moins d’effets indésirables.
Certains pays proposent un vaccin aux personnes susceptibles d’être à risque, comme les personnels de laboratoires, les agents de santé, etc. En France, la Haute Autorité de santé a recommandé dans son avis du 7 juillet 2022 qu’une vaccination préventive soit proposée aux personnes les plus exposées au virus, à savoir les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, propriétaires de lieux de consommation sexuelle, et professionnels du sexe.
Qui est touché ?
Le Mpox est une maladie infectieuse émergente, identifiée pour la première fois chez l’être humain en 1970 en République démocratique du Congo (RDC). Ensuite, la plupart des cas ont été signalés dans les régions rurales et isolées, et les zones de forêts tropicales humides d’Afrique centrale et d’Afrique de l’Ouest.
La fréquence des flambées épidémiques, et leurs tailles dans les populations humaines, ont régulièrement augmenté ces dernières années. La propagation géographique du Mpox s’est étendue au-delà des forêts d’Afrique centrale, vers des zones de savane ou des zones urbaines, et jusqu’à d’autres parties du monde où des cas ont été importés.
Ce schéma de transmission s’explique en partie par le déclin mondial de l’immunité post-vaccination antivariolique, suite à l’arrêt de cette vaccination, dans les années 1980 (voir l’analyse rétrospective de l’Institut Pasteur en juillet 2020).
Cependant, d’autres facteurs, qui ont été sujets à une évolution ces 30 dernières années, sont également impliqués : changements majeurs d’usage des terres, déforestation massive, urbanisation croissante, destructions d’habitat de faune sauvage, pertes de biodiversité. Ces pressions sur les écosystèmes dues à l’activité humaine entrainent une majoration des interfaces humains/faune sauvage, ainsi que la modification des structures et dynamiques des communautés animales.
Depuis quelques années, on assiste à un changement du profil épidémiologique des patients en Afrique, alors que le virus est retrouvé de plus en plus souvent en zone urbaine :
• Au Nigéria, il s’agit depuis 2017 d’une population majoritairement masculine, d’âge sexuellement actif, avec une proportion non négligeable de patients infectés par le VIH. Le clade infectant, appelé 2b, est celui qui a été retrouvé par la suite lors de la pandémie mondiale de 2022, qui a majoritairement touché les hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes (HSH). Cette pandémie, 87972 cas et 147 décès dans 110 pays, a amené l’OMS à déclarer pour la première fois une urgence de santé publique de portée internationale (USPPI) le 23 juillet 2022. Les mesures de prévention relayées par les milieux associatifs vers les populations à risque, ainsi que la vaccination, ont permis d’enrayer cette première pandémie, même si le virus continue à circuler à bas bruit (52 cas notifiés en France en 2023, 107 lors du premier semestre 2024).
• En RDC, où le nombre de cas est en constante augmentation depuis deux ans, et où une épidémie particulièrement importante sévit dans la partie est du pays (le Kivu). La majorité des cas sont des adultes jeunes, beaucoup travaillant dans les zones minières, et également des professionnelles du sexe, suggérant une transmission sexuelle active du virus dans ces communautés. Le clade 1b, impliqué dans ces transmissions, a depuis été retrouvé dans plusieurs pays d’Afrique de l’Est où le virus ne circulait pas auparavant (notamment le Rwanda, le Burundi, l’Ouganda et le Kenya). C’est cette circulation active du virus en Afrique de l’Est, et la présence d’un nouveau clade dont on ne connait pas encore la transmissibilité et la létalité, qui a amené l’OMS à déclarer une deuxième USPPI le 14 août 2024.
• Réponse Rapide 1 : L’infection par le virus Monkeypox (MPXV) est transmissible, essentiellement par contact direct cutanéomuqueux (lors de contacts sexuels le plus fréquemment), plus occasionnellement par gouttelettes respiratoires et/ou par l’intermédiaire d’un objet (linge, vaisselle...).
• Réponse Rapide 2 : Sans être exclusif de cette population, la majorité des cas rapportés en Europe concerne des hommes ayant des rapports sexuels avec des hommes (HSH) et des partenaires multiples[1] (En France, 95 % des cas sont survenus chez des HSH).
• Réponse Rapide 3 : Le médecin interroge le patient sur son statut VIH. S’il s‘agit d’une personne vivant avec le VIH (PVVIH), il l’interroge sur son traitement et son taux de CD4. Dans ce cas, il l’oriente vers un spécialiste du VIH.
• Réponse Rapide 4 : Le mode de transmission par contacts sexuels nécessite un bilan IST systématique d’emblée : examens sanguins (Sérologie VIH, VHB, VHC, Syphilis) et PCR Gonocoque et Chlamydia sur premier jet urinaire.
• Réponse Rapide 5 : La prévention combinée repose sur cinq volets : réduction des risques, vaccination préventive en préexposition, vaccination réactive en post exposition des personnes contacts à risque, isolement en cas d’infection et information des partenaires.
• Réponse Rapide 6 : La période d’incubation est comprise entre 5 et 21 jours. Le diagnostic est clinique (symptomatologie polymorphe, possibilité de se faire aider par téléexpertise) ; le prélèvement des lésions pour diagnostic biologique (recherche de l’ADN viral), est indiqué en cas de doute clinique (symptômes non francs ou contexte d’exposition non identifié ou recherche d’un diagnostic différentiel).
• Réponse Rapide 7 : La prise en charge est en règle générale ambulatoire : l’évolution est le plus souvent favorable en 2 à 4 semaines. Certaines formes peuvent être hyperalgiques et il existe quelques complications viscérales. En France depuis le début de l’épidémie, 3% des malades ont nécessité une hospitalisation dont les principaux motifs sont listés ci-après. Il n’y a eu aucun décès déclaré.
• Réponse Rapide 8 : Etant donné les caractéristiques de la contagion, le patient doit s’isoler dès l’apparition des symptômes (J1), jusqu’à cicatrisation des lésions et au minimum 21 jours.
• Réponse Rapide 9 : Le contact étroit avec les patients peut exposer les professionnels de santé qui doivent donc se protéger en conséquence (masque FFP2, blouse, gants, lunettes).
• Réponse Rapide 10 : Il n’existe pas de traitement spécifique pour les formes simples mais des traitements symptomatiques, en particulier pour les douleurs parfois intenses. L’instauration d’un traitement par anti-inflammatoires ou corticoïdes est à proscrire.
• Réponse Rapide 11 : Il est nécessaire d’évaluer le retentissement social et psychologique de l’infection (en particulier en cas de douleurs importantes) et de ses conséquences (isolement, angoisse, stigmatisation) et d’orienter le patient vers un accompagnement adapté.
• Réponse Rapide 12 : Une attention particulière doit être portée aux populations à risque de formes graves : individus immunodéprimés, femmes enceintes et jeunes enfants. Dans ces cas, une orientation vers un avis spécialisé est indiquée.
• Réponse Rapide 13 : A ce jour, il n’existe pas d’indication à un dépistage chez les personnes asymptomatiques, y compris chez les personnes contacts à risque d’être contaminées.
• Réponse Rapide 14 : Il existe une vaccination contre cette maladie en préexposition chez les personnes à très haut risque d’exposition et en post exposition pour les personnes contacts à risque. Le schéma vaccinal et les modalités sont rappelés sur la fiche vaccination.
• Réponse Rapide 15 : L’infection à MPXV est une maladie à déclaration obligatoire.
• Réponse Rapide 16 : privilégiez toujours le traitement naturel sur tout maladie.

10/08/2024
Qu'est-ce que l'épilepsie ? L'épilepsie est un trouble du système nerveux central (neurologique) dans lequel l'activité ...
10/08/2024

Qu'est-ce que l'épilepsie ?
L'épilepsie est un trouble du système nerveux central (neurologique) dans lequel l'activité cérébrale devient anormale, provoquant des convulsions ou des périodes de comportement et des sensations inhabituelles et, parfois, une perte de conscience. Dans le monde, 50 millions de personnes sont atteintes de cette affection neurologique.
Les symptômes de l'épilepsie peuvent varier considérablement. Certaines personnes atteintes d'épilepsie regardent simplement dans le vide pendant quelques secondes pendant une crise, tandis que d'autres contractent à plusieurs reprises leurs bras ou leurs jambes, en convulsions. Ceci est dû au fait qu’il n’y a pas une seule forme d’épilepsie mais plusieurs, en fonction de l’activité anormale du cerveau :
• Crise généralisée
• Crise partielle ou focale
Avoir une seule crise ne signifie pas que vous souffrez d'épilepsie. Au moins deux crises non provoquées sont généralement nécessaires pour établir le diagnostic.
Les symptômes
Parce que l'épilepsie est causée par une activité anormale du cerveau, les crises peuvent affecter tout processus coordonné par ce dernier.
Les signes et symptômes de convulsions peuvent inclure :
• Une confusion temporaire
• Une absence
• Des mouvements saccadés incontrôlables des bras et des jambes
• Une perte de conscience
• Des symptômes psychiques tels que la peur, l'anxiété ou le déjà-vu
Les symptômes varient en fonction du type de crise. Dans la plupart des cas, une personne atteinte d'épilepsie aura tendance à reproduire le même type de crise à chaque fois, de sorte que les symptômes et les signes seront semblables d'un épisode à l'autre et se reconnaissent facilement.
Les crises focales ou partielles
Lorsque les crises semblent résulter d'une activité anormale dans une seule partie de votre cerveau, elles sont appelées des crises focales (partielles). Elles appartiennent à deux catégories :
• Crises focales sans perte de conscience ou également appelées crises partielles simples, ces crises ne provoquent pas de perte de conscience. Elles peuvent altérer les émotions ou changer l’apparence des choses, l'odorat, la sensation, le goût ou le son. Elles peuvent également entraîner des secousses involontaires d'une partie du corps, comme un bras ou une jambe, et des symptômes sensoriels spontanés tels que des picotements, des vertiges et des lumières clignotantes.
• Crises focales avec conscience altérée ou également appelées crises partielles complexes. Ces crises impliquent un changement ou une perte de conscience. Pendant une crise partielle complexe, vous pouvez regarder dans l'espace et ne pas répondre normalement à votre environnement ou effectuer des mouvements répétitifs, tels que le frottement des mains, la mastication, la déglutition ou encore tourner en rond.
Les symptômes de crises focales peuvent être confondus avec d'autres troubles neurologiques, tels que la migraine ou la narcolepsie. Un examen approfondi et des tests sont nécessaires pour distinguer l'épilepsie d'autres troubles.
Les crises généralisées
Les crises qui semblent impliquer toutes les régions du cerveau sont appelées crises généralisées. Six types de crises généralisées existent avec des signes différents :
• Crises d'absence. Les crises d'épilepsie, connues auparavant sous le nom de crises de petit mal, surviennent souvent chez les enfants et se caractérisent par un regard fixe dans l'espace ou par des mouvements corporels subtils tels que le clignement des yeux ou le claquement des lèvres. Ces crises peuvent survenir en groupes et provoquer une brève perte de conscience.
• Crises toniques. Elles provoquent un raidissement de vos muscles. Ces crises affectent habituellement les muscles du dos, des bras et des jambes et peuvent faire tomber par terre.
• Crises atoniques, également appelées crises de goutte. Elles provoquent une perte de contrôle musculaire, ce qui peut entraîner un effondrement soudain ou une chute.
• Crises cloniques. Elles sont associées à des mouvements musculaires répétés ou rythmés, saccadés. Ces crises affectent habituellement le cou, le visage et les bras.
• Crises myocloniques. Ces crises apparaissent généralement comme de brusques secousses soudaines ou des secousses de vos bras et de vos jambes.
• Crises tonico-cloniques, auparavant connues sous le nom de crises d'épilepsie. Ce sont le type le plus dramatique de crise épileptique : elles peuvent provoquer une perte soudaine de conscience, des raidissements et des tremblements et parfois une perte de contrôle de la vessie ou une morsure de la langue.
Quand voir un médecin ?
Consulter immédiatement un médecin si l'un des cas suivants se produit :
• La crise dure plus de cinq minutes.
• La respiration ou la conscience ne revient pas après l'arrêt de la crise.
• Une seconde crise suit immédiatement.
• Une forte fièvre.
• Vous éprouvez un épuisement dû à la chaleur.
• Vous êtes enceinte.
• Vous avez un diabète.
• Vous vous êtes blessé pendant la crise.
• Si vous ressentez une crise pour la première fois.
Les causes
L'épilepsie n'a pas de cause identifiable chez la moitié des personnes épileptiques. Dans l'autre moitié, la condition peut être attribuée à divers facteurs :
• Causes génétiques : environ 40 % des épileptiques ont une forme génétique.
• Causes acquises : tumeur cérébrale, malformation congénitale, lésion cérébrale, traumatisme.
• Causes vasculaires : accident ischémique ou hémorragique, malformation cérébrale, traumatisme crânien, AVC, maladie neurodégénérative évolutive.
• Causes infectieuses : encéphalite, méningite, abcès cérébral.
• Causes toxiques : une forte dose d’alcool, l’alcoolisme chronique ainsi que le sevrage, drogues type cocaïne ou amphétamine, antidépresseurs (surconsommation, surdosage ou sevrage).
Les facteurs de risque
Certains facteurs peuvent augmenter les risques d'épilepsie :
• L’âge : elle est plus fréquente chez les enfants et les personnes âgées, mais la maladie peut survenir à tout âge.
• La génétique : si vous avez des antécédents familiaux d’épilepsie, vous avez plus de risque de développer ce trouble.
• Blessures à la tête : elles sont responsables de certains cas d'épilepsie. Vous pouvez réduire les risques en suivant les règles de sécurité lors d’activité à risque comme le port du casque pour une balade à vélo ou en moto, la ceinture de sécurité lorsque vous êtes en voiture…
• Accident vasculaire cérébral et d'autres maladies vasculaires. Les AVC et autres maladies vasculaires peuvent entraîner des lésions cérébrales susceptibles de déclencher l'épilepsie.
• Démence. Elle peut augmenter le risque d'épilepsie chez les personnes âgées.
• Infections du cerveau. Les infections telles que la méningite, qui provoque une inflammation dans le cerveau ou la moelle épinière, peuvent augmenter votre risque
Comment traiter l'épilepsie naturellement ?
Le régime pauvre en glucides, un remède naturel contre les crises d’épilepsie est la meilleure solution.

LE TRAITEMENT NATUREL RESTE LA MOINS NOCIF POUR L'HUMANITE ET LE PLUS SURE
05/08/2024

LE TRAITEMENT NATUREL RESTE LA MOINS NOCIF POUR L'HUMANITE ET LE PLUS SURE

Définition tachycardieLa tachycardie est le terme médical désignant une fréquence cardiaque supérieure à 100 battements ...
05/08/2024

Définition tachycardie
La tachycardie est le terme médical désignant une fréquence cardiaque supérieure à 100 battements par minute. De nombreux types de rythmes cardiaques irréguliers (arythmies) peuvent provoquer une tachycardie. Une fréquence cardiaque rapide n'est pas toujours un problème. Par exemple, la fréquence cardiaque augmente généralement pendant l'exercice ou en réponse au stress.

Lorsque le rythme cardiaque est trop rapide, cela s'appelle de la tachycardie (souvent ventriculaire). Pour les humains adultes, une fréquence cardiaque rapide est définie comme supérieure à 100 BPM -battements par minute). Mais ce qui est considéré comme trop rapide peut aussi dépendre de l'âge et l'état de santé général.
Explications
Si vous souffrez de tachycardie, votre rythme cardiaque peut ressembler à un pouls fort dans votre cou ou à un battement rapide et flottant dans votre poitrine. Vous pouvez également ressentir une gêne dans la poitrine, une faiblesse, un essoufflement, des évanouissements, des sueurs ou des étourdissements. Si vous présentez l'un de ces symptômes, consultez immédiatement un médecin.
La tachycardie qui vous met en danger ne disparaît pas d'elle-même. Vous devrez adopter un mode de vie plus sain et prendre des médicaments pour le contrôler. Vous devrez peut-être également subir une procédure, telle qu'une ablation, pour vous aider à la gérer.
Qu'est-ce qui déclenche la tachycardie ?
Les causes qui déclenchent une tachycardie sont nombreuses. L'exercice intense, la fièvre, la peur, le stress, l'anxiété, certains médicaments et les drogues illicites peuvent entraîner une tachycardie sinusale. Elle peut également être déclenchée par une anémie, une thyroïde hyperactive ou des dommages causés par une crise cardiaque ou une insuffisance cardiaque.
Tachycardie ventriculaire
La tachycardie ventriculaire survient lorsque les cavités inférieures du coeur battent à une vitesse inhabituelle. Cela peut intervenir en raison d'un dysfonctionnement du système électrique du cœur. Dans certains cas, la tachycardie ventriculaire peut se transformer en fibrillation ventriculaire, qui est une condition plus dangereuse.
La tachycardie supraventriculaire est une condition dans laquelle le coeur bat soudainement beaucoup plus vite que la normale. Ce n'est généralement pas grave, mais certaines personnes peuvent avoir besoin d'un traitement.
Les caractéristiques suivantes permettent de distinguer différents types de tachycardie ventriculaire :
• Soutenue ou non soutenue : une tachycardie ventriculaire soutenue survient lorsque la tachycardie dure plus de 30 secondes, ou lorsqu'elle dure moins de 30 secondes, mais provoque également un choc cardiogénique.
• Structure : une façon de différencier les différents types de tachycardie ventriculaire est de savoir comment l'électricité se déplace à travers le cœur. Cela peut être vu à l'aide d'un outil de diagnostic appelé électrocardiographie (en savoir plus à ce sujet dans la section Diagnostic et tests ci-dessous). À l'aide de capteursfixés sur la peau de votre poitrine, l'activité électrique de votre cœur est affichée sous la forme d'une vague.
Dans des circonstances normales, les ondes qui montrent votre activité cardiaque sont organisées et suivent un schéma appelé "rythme sinusal". Lorsque votre cœur ne suit pas ce schéma, les professionnels de la santé examineront la forme du schéma pour trouver des indices qui les aideront à comprendre le problème.
Les changements recherchés par les cliniciens incluent :
• Principales différences : les rythmes cardiaques irréguliers surviennent parce que l'électricité ne circule pas dans votre cœur comme elle le devrait. En examinant en quoi le modèle est différent d'un modèle normal, les cliniciens peuvent mieux comprendre ce qui cause le problème.
• Changements de rythme : un rythme qui change d'un battement à l'autre est un signe de maladie cardiaque grave ou d'autres problèmes.
• Motifs multiples : normalement, les électrodes verront toutes le même motif d'onde global. Cependant, lorsque certaines électrodes présentent des motifs différents, cela indique un grave dysfonctionnement du système électrique du cœur.

Plusieurs  Anomalies Peuvent Etre La Cause  De L’infertilité. Mais La Meilleur Solution Est NaturelleDes trompes abîmées...
16/07/2024

Plusieurs Anomalies Peuvent Etre La Cause De L’infertilité. Mais La Meilleur Solution Est Naturelle
Des trompes abîmées n bouchées ou infecter peuvent provoquer une infertilité. Ces anomalies sont fréquentes et représentent 50 % des indications de fécondations in vitro.
Fécondation : quels sont les rôles des trompes de Fallope ?
Les trompes ont un rôle primordial dans la fécondation. Une fois libéré par l’ovaire (au moment de l’ovulation), l’ovule va se nicher dans le pavillon de la trompe. Elle est rejointe par les spermatozoïdes. Si l’un d’entre eux réussit à la pénétrer, alors il y a fécondation. Mais pour que ce mécanisme fonctionne, il faut qu’il y ait au moins un ovaire et une trompe "opérationnels". Lorsque ces deux organes sont bouchés, la fécondation naturelle - et donc la grossesse - est impossible. À savoir aussi que si l’une des trompes n’est pas totalement obstruée, il y a un risque de grossesse extra-utérine car l’œuf peut avoir des difficultés à circuler de la trompe vers la cavité utérine.
Chaque trompe est composée de 4 parties :
• Une partie utérine qui traverse l’épaisseur du muscle utérin
• L’isthme tubaire
• L’ampoule tubaire, soit le lieu la fécondation
• L’infundibulum qui finit en 10 à 15 franges, dont l’une d’elles, la frange ovarique, est reliée à l’ovaire. Cette dernière possède un petit or***ce afin de permettre aux ovules produits par l’ovaire d’entamer leur descente des trompes.
• Fertilité féminine : le rôle clé des cils présents dans les trompes de Fallope
Anomalies des trompes : quelles sont les causes d'obstruction ?
Les trompes sont parfois perturbées par des phénomènes d’adhérences qui empêchent le passage de l’ovule, des spermatozoïdes et de l’embryon. Ces anomalies, susceptibles de provoquer une infertilité, peuvent avoir trois origines :
• Infectieuse
On parle alors de salpingite ou inflammation des trompes. Elle est souvent liée à une infection sexuellement transmissible, notamment transmise par le microbe chlamydiae. Cette infection peut entraîner soit la création de tissus autour des trompes qui gênent alors mécaniquement la liberté de passage entre l’ovaire et la trompe, soit une obstruction de la trompe au niveau de son extrémité. Un curetage utérin (à la suite d’une fausse couche) mal effectué ou la pose inadaptée d’un stérilet peut également provoquer une infection.
• Post-opératoire
Dans ce cas, il s’agit de problèmes tubaires dus à des complications post-opératoires. De nombreuses interventions, pourtant banales, peuvent endommager les trompes : une appendicectomie, une chirurgie gynécologique sur les ovaires ou encore l’opération d’un fibrome utérin.
• L’endométriose
Cette maladie gynécologique fréquente, qui se manifeste par la présence de petits fragments d’endomètre (morceaux de la muqueuse utérine) sur les trompes et dans les ovaires, voire sur d'autres organes, peut abîmer la qualité des trompes, voire les boucher.
L'exposition au Distilbène, un médicament donné pour limiter les risques de fausses couches à près de 200 000 femmes enceintes jusqu'en 1977, occasionnerait également des anomalies des organes génitaux, dont l'utérus et les trompes. Les filles nées de ces femmes auxquelles du Distilbène avait été prescrit peuvent donc souffrir d'une obstruction des trompes de Fallope.
Comment se manifestent des trompes utérines bouchées ?
Dans tout bilan d’infertilité, on vérifie l’état des trompes. Une fois les examens de base réalisés (courbe de température, dosages hormonaux, test de Hünher), le médecin vous prescrit une hystérosalpingographie ou hystéroscopie. Cet examen, malheureusement réputé comme douloureux, permet de vérifier la perméabilité des trompes.
Hystérosalpingographie : comment se faire déboucher les trompes de Fallope ?
Le gynécologue introduit dans le col utérin une petite canule par laquelle il injecte un liquide opaque aux rayons X. Cinq ou six images sont prises afin de visualiser la cavité utérine, les trompes et le passage du produit à travers elles.
Si, à la suite de l’hystérosalpingographie, il y a un doute sur l’état des trompes ou si les médecins suspectent une endométriose, ils peuvent vous proposer de faire une cœlioscopie. Cet examen nécessite une anesthésie générale. Le chirurgien effectue une petite incision au niveau du nombril et insère un cœlioscope. Ce « tube », muni d'un système optique, permet d'évaluer la perméabilité des trompes, mais également de vérifier l’état des ovaires et de l’utérus. Lors de cette intervention, le chirurgien pourra tenter de déboucher les trompes.
Grossesse : peut-on tomber enceinte malgré une obstruction des trompes ?
Si la trompe est trop abîmée ou que plusieurs grossesses extra-utérines ont été déclarées, votre gynécologue pourrait vous suggérer une salpingectomie, soit l'ablation des trompes de Fallope. Notez que la conservation d'une seule trompe conserve l'espoir de mener à terme une grossesse malgré l'ablation de l'autre. Une ligature des trompes peut aussi être discutée.

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